Avec des œuvres de Marie Liesse
Cet article propose une lecture suivie des deux premiers romans de Monique Wittig, L’opoponax et Les guérillères, dans lesquels se développe une conception de la violence comme praxis de subjectivation. À partir du dispositif de défense théorisé par Elsa Dorlin dans son ouvrage Se défendre, il s’agit de retracer l’évolution des conflits entre corps défendables et corps indéfendables dans les deux textes à l’étude.